UE – Ayant été tenu un peu plus de trois mois après les élections présidentielles françaises et dix jours avant les législatives fédérales allemandes, le discours sur l’avenir de l’Europe du président de la Commission Européenne devant le Parlement de Strasbourg était forcément très attendu. La grande presse bien pensante, notamment en France, a salué le courage d’un homme qui a suaborder tous les problèmes pour tenter de mieux les résoudre. La presse allemande, en revanche, est plus mesurée et considère que Jean-Claude Juncker, prend tout simplement le train en marche.