Cause animale : en attendant un possible «Buren-Gate », les Verts allemands bossent

Le Dr. Christoph Then, vétérinaire, il se penche de puis des années sur les recherches génétiques et leurs méfaits sur la cause animale

Allemagne – Il y a deux façons d’être écologistes. A la française ou à l’allemande. Dans le premier cas, ce n’est pas tellement la cause animale ou la protection de la nature qui priment, mais plutôt les ambitions personnelles. Depuis des années, on en a la preuve. Les porte-paroles des verts sont champions toutes catégories en matière d’opportunisme politique, ils se font un nom, à l’instar de Vincent Placé,  en bousculant le pouvoir en place mais n’hésite pas à accepter un poste de secrétaire d’Etat lorsqu’on le leur propose pour les faire taire. Dès que l’actuelle ministre de l’écologie a commencé à émettre des critiques sur la politique de son ex-compagnon, François Hollande, ce dernier a aussitôt remanié son gouvernement et placé la mère de ses quatre  enfants à un poste hautement stratégique à la veille de la COP 21. Le problème a été alors que le grand organisateur de la conférence sur le climat n’a pas été Ségolène Royal, mais Laurent Fabius, ancien ministre des Affaires Etrangères, qui s’est fait une réputation mondiale en attirant plus de 190 chefs d’Etat . Les observateurs étrangers ont trouvé singulier qu’un chef de la diplomatie s’occupe d’écologie alors que le monde est en guerre mais ont dû se dire : « C’est la France ! ». Les écologistes français pourraient faire l’objet de comédies truculentes, style « Le bonheur est dans le pré », où seraient mis en scène des ministres qui se rendent à l’Elysée à bicyclette devant les caméras pour le premier conseil, mais recourent aussitôt à la grosse berline avec chauffeur dès le second.

 

 

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