www.pg5i.eu s’adapte aux nouvelles contraintes rédactionnelles

France / UE / Europe Centrale – La pandémie a provoqué de profonds changements dans tous les secteurs de la société et de son évolution. Alors qu’il était possible jusqu’à présent, lors de crises, d’en mesurer les conséquences, il est difficile d’en faire de même avec celle qui est venue récemment frapper à nos portes. Commenter les actualités est un défi permanent, car elles peuvent se contredire non pas de jour en jour mais de minutes en secondes. Jamais, lecteurs, auditeurs et téléspectateurs n’ont été autant inondé d’informations, de messages et d’images. Il suffit qu’un événement revête, lui aussi, un caractère planétaire, à l’instar de la mort de George Floyd aux Etats-Unis, pour que la machine s’enraye, le train déraille et les esprits s’échauffent. Face à un tel phénomène, il y a deux façons, pour les journalistes, de réagir : soit ils traitent à la hâte tout ce qu’ils ont lu, vu ou entendu, quitte à amalgamer deux événements et prétendre par exemple que les manifestations contre le racisme n’auraient pas été aussi suivies si leurs participants n’avaient pas été plusieurs mois confinés, soit on prend le recul nécessaire en s’interrogeant prioritairement sur les dommages causés par la pandémie qui, eux, sont déjà visibles et par conséquent objectivement traitables. Ce dont permet personne n’est sûr mais dont tout le monde parle est la possible « deuxième vague » alors que l’urgence est de réparer les dégâts causés par la première. Notre site a choisi cette seconde voie et préféré renoncer au traitement d’informations périmées le lendemain pour se pencher sur le quotidien que vivent les couches de la population les plus représentatives de la société dans laquelle nous vivons. Chaque fin semaine, le samedi et ou le dimanche, nous ne proposerons à nos lecteurs que des articles qui ont été réfléchis et analysés et ce, à partir de sources d’information fiables c’est-à-dire de personnes ou d’organisations qui connaissent et maîtrisent leur sujet avant de prendre position. Nous partons du principe que le numérique n’a pas été inventé pour générer des rumeurs et exacerber des préjugés mais pour décrire le monde tel qu’il est. Le plus grand danger que représente la pandémie en Europe est l’occultation de la réalité des faits au profit de la démagogie et du mensonge.vjp

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