Inculture, pain et chocolat

France – Les campagnes électorales sont toujours propices aux promesses, jamais tenues des candidats, mais elles peuvent l’être aussi pour mettre à jour l’inculture de ceux qui prétendent à la fonction suprême. Après Nicolas Sarkozy qui ne connaissait pas « Le bon coin », c’est au tour de son ex-ami et compagnon de route « bygmalionesque » de s’être ridiculisé en ne sachant pas combien coûte un pain au chocolat. Pour celui, à qui les sondages effectués dans son camp pour les primaires attribuent péniblement les 10%, cette viennoiserie nécessite un « investissement » de 10 à 15 centimes, soit huit à dix fois moins que le prix pratiqué à Paris

 

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