Les hospices de Beaune

Le 1er janvier 1452, l’Hostel-Dieu de Beaune accueillit son premier malade. Cet édifice, l’un des plus visité de France, n’était pas réservé aux riches courtisans mais aux classes les plus défavorisées de l’époque, dans cette fin de Moyen-Age où la Bourgogne joue les intrigantes.

Les hospices de Beaune ne ressemblent, par conséquent, en rien à un musée ou à un château. Ils sont néanmoins emplis de trésors, parmi lesquels le très célèbre polyptyque du Jugement dernier signé Roger Van der Weyden.

Ils sont l’œuvre d’un enfant du pays, né à Autun en 1376, et dont les largesses marquent encore, et comment, le patrimoine historique bourguignon.

 

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