Bulgarie : pression et corruption en direct et à visage découvert

« Les bas salaires font fuir les Bulgares qualifiés » : une terrible réalité, conséquence de la corruption dénoncée par « Wirtschaftsblatt« 

Bulgarie – Il est de notoriété publique que la Bulgarie est le pays européen le plus corrompu. La corruption est le fléau de ce territoire de plus en plus abandonné par les forces vives de la société qui préfèrent fuir à l’étranger plutôt que de participer au sauvetage de la terre où elles sont nées, terre sauvagement vilipendée sous les yeux d’une population soumise à la pression quotidienne de politiciens et de dirigeants véreux. Le président de la Commission Européenne, travaillerait nous dit-on sur une législation sociale plus juste et solidaire, le président de la République française a fait du dossier sur les travailleurs détachés une priorité de son mandat, s’y attelant alors que personne sur le Vieux Contient ne le lui demandait. Il arrive qu’à Bruxelles, on décide parfois de suspendre les aides vouées aux pays défavorisés, sachant pertinemment qu’elles servent à constituer des réseaux de mafieux. Un mode de pression qui ne sert pas à grand chose, car les subventions de l’union ne représentent qu’un bakchich, comparées à tous les commerces illicites (armes, drogues, prostitution, commerce d’organes, etc.) qui sont monnaie courante dans des pays comme la Bulgarie. Moralité : l’abandon européen sanctionne les couches les plus défavorisées de la société sans pour autant mettre fin à la corruption qui ravage le pays. La conséquence directe de cet état de fait est la chute vertigineuse de la natalité, un critère qui démontre à quel point les jeunes couples ont peur pour leur avenir et celui de leur progéniture.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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